Le linceul de Turin n’est pas ce que vous croyez !

 

 

Ne croyez pas ce que nous racontent Daniel Raffard de Brienne, Arnaud-Aaron Upinsky, etc.

 

Oui, sur le linceul de Turin on observe bien l’image du Christ.

Mais ce linceul n’est pas le suaire authentique :

C’est une copie du vrai linceul de Jésus.

 

 

 

Pour tout savoir, il faut lire les ouvrages de Serge Fanchette, édités par les Editions Téqui.

Mystérieusement, tous nos auteurs ci-dessus font le silence le plus absolu sur les ouvrages de Serge Fanchette…

 

 

          

 

 

 

 

Tous ces deux ouvrages sont disponibles aux Editions Téqui :

 

http://tequi.octave.biz/start.asp

 

Librairie Téqui

8, Rue Mézières

75006 Paris

Tél: 01.42. 22. 70. 40

Horaires d'ouverture : 10h-18h30 sauf lundi et samedi où il y a fermeture entre 13h et 14h

 

 

 

Voir également le petit site internet de Serge Fanchette :

 

www.linceulpassionjesus.com

 

 

 

Dans son premier ouvrage, Le Linceul de Turin... identité retrouvée (Téqui 1996), l'auteur s'étant posé la question de savoir si ce linceul est bien celui qui a enveloppé dans le tombeau le corps de Jésus de Nazareth, a mené une enquête, reprenant un à un les différents domaines de recherches déjà effectuées : histoire des linges sépulcraux du Christ selon la légende ou la tradition ; l'image d'Edesse et la thèse de Ian Wilson ; études textiles ; la preuve de l'authenticité par les pollens et par la numismatique ; études physiologiques ; traces de blessures, images du corps , images sanguines ; tridimensionalité de l'image corporelle ; description de la Passion par une autopsie de l'homme du Linceul ; les tests au carbone 14 ; et, depuis le symposium de Paris en 1989, le fameux argument épistémologique de M. Upinsky, etc. La méthode de travail adoptée est celle d'une approche rationnelle et rigoureuse du type "enquête policière".

L’identité retrouvée est celle que les auteurs de la "fabrication" de ce linceul lui reconnaissaient au début du XIIIe siècle: une copie du vrai linceul de Jésus. Les découvertes formaient un faisceau de présomptions toutes convergentes vers une conclusion inéluctable. Mais il manquait cependant une preuve tangible, d'ordre scientifique ou historique. Cette deuxième enquête, mieux qualifiée de contre-enquête, apporte une preuve sémantique, alliant la science et l'histoire. La qualité de copie du Linceul de Turin n'est désormais plus à démontrer. Un titre autre que celui choisi pour le présent ouvrage serait : Des images du Ier siècle sur un drap du XIIIe siècle, ce qui aurait semblé miraculeux.

 

 

Les spécialistes scientifiques de l'étude du Linceul de Turin - les "sindonologues" - se sont-ils jamais posé la question de savoir ce que le terme sindon signifie ? Serge Fanchette s'est posé la question. La réponse ressortant de ses recherches apporte une nouvelle évidence qui bouleverse la donne : le Linceul du Christ était-il vraiment en lin ?

 

 

 

Retour à l’accueil